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Google porte plainte contre des cybercriminels
Le 13 novembre, Google a annoncé avoir déposé une plainte contre cinq individus non identifiés qui ont trompé de nombreux internautes en se faisant passer pour Bard, l’outil de robot conversationnel de l’entreprise. Ces escrocs ont utilisé une version contrefaite de Bard pour inciter leurs victimes à installer des logiciels malveillants sur leurs appareils.
Une arnaque sophistiquée
Ces cybercriminels ont réussi à créer un faux outil de conversation qui ressemble de manière frappante à celui développé par Google. Ils ont attiré les internautes en leur promettant une expérience similaire à celle de Bard, mais en réalité, ils cherchaient simplement à infecter les appareils des utilisateurs avec des logiciels malveillants.
Des conséquences dangereuses
Les conséquences de cette arnaque peuvent être très graves. En installant ces logiciels malveillants, les victimes sont exposées à des risques tels que le vol de données sensibles, les attaques par ransomware ou encore la prise de contrôle à distance de leurs appareils. Il est donc crucial de rester vigilant et de ne télécharger des applications que depuis des sources fiables.
Une action en justice
Face à cette situation, Google a décidé de prendre des mesures en portant plainte contre ces cybercriminels. L’entreprise souhaite ainsi protéger ses utilisateurs en faisant en sorte que les responsables de cette arnaque soient identifiés et traduits en justice. Il est important que ces individus soient tenus pour responsables de leurs actions afin de dissuader d’autres personnes de commettre des actes similaires à l’avenir.
La sécurité en ligne, une priorité
Cet incident souligne l’importance de la sécurité en ligne et de la vigilance des utilisateurs. Il est primordial de vérifier l’authenticité des outils et des applications que nous utilisons, et de ne pas céder à la tentation de télécharger des programmes provenant de sources douteuses. Google continuera à travailler pour renforcer la sécurité de ses produits et à sensibiliser les utilisateurs aux risques potentiels liés à la cybercriminalité.
Source : CNEWS